"Un concours de vulgarité diffusé à des millions d'enfants" : Ségolène Royal fustige l'Eurovision 2024

"Un concours de vulgarité diffusé à des millions d'enfants" : Ségolène Royal fustige l'Eurovision 2024

Après avoir regardé l'Eurovision 2024, Ségolène Royal s'est insurgée sur X, anciennement Twitter. L'ancienne candidate à l'élection présidentielle n'a pas du tout aimé certaines prestations et l'a fait savoir.

Ce samedi 11 mai a eu lieu le concours de l'Eurovision 2024. Une compétition remportée par la Suisse, tandis que la France, représentée par Slimane, est arrivée à la quatrième place. "Je suis très ému parce que j’ai chanté dans ma langue, j’ai chanté l’amour, j’ai chanté la paix. Ce n’est pas de la tristesse, c’est vraiment de la fierté. Je suis très fier pour Nemo, il méritait de gagner. Ce n’est pas ça, l’histoire. On méritait vraiment d’exister et d’être entendus. On l’a été ce soir, je l’ai été ce soir", a déclaré le chanteur à la suite du show avant d'adresser un message fort à ses nombreux fans au lendemain du concours.

Ségolène Royal très cash sur l'Eurovision 2024 : "Un concours de laideur, de vulgarité, de grossièreté, d'exhibitionnisme"

Si 5,4 millions de Français étaient devant le concours de l'Eurovision, il y a une personne qui n'a pas du tout aimé... C'est Ségolène Royal ! L'ancienne candidate à l'élection présidentielle n'a vraiment pas apprécié les prestations de plusieurs de nos voisins européens. Sur X (anciennement Twitter), elle a notamment commenté la proposition artistique du groupe Finlandais, Windows95man, dont le chanteur est apparu avec un boxer couleur chair à l'antenne, donnant donc l’illusion qu'il était nu. "Ce n'était pas un concours de talent musical, mais un concours de laideur, de vulgarité, de grossièreté, d'exhibitionnisme (sanctionné par la loi mais diffusé à des millions d'enfants et d'ados !)", a écrit Ségolène Royal.

Ségolène Royal demande une "enquête sérieuse" sur l'Eurovision 2024

Par la suite, celle qui apparaît dans TPMP tous les jeudis a déclaré : "Il faut espérer que pas un euro d'argent public ou européen ne soit allé à cette farce lugubre, (à quelques exceptions près), et que les questions sur l'entreprise de costumes et de mise en scène qui a sévi et sur ceux qui l'ont choisie puissent être posées. Les chanteurs et chanteuses eux-mêmes ont-ils eu la liberté de refuser les pitoyables vêtements maltraitants que les organisateurs leur ont fait porter ? Une enquête sérieuse sur les méthodes ainsi qu'un bilan financier détaillé de cette exhibition minable mais manifestement coûteuse s'imposent. La culture, la musique et l'Europe doivent se respecter sinon personne ne les respectera plus." Voilà qui est dit !

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Article écrit avec la collaboration de 6médias.