Il s’affirme de plus en plus comme l’une des bonnes surprises de la saison lyonnaise. Et comme un élément incontournable du onze de Pierre Sage. Recruté libre l’été dernier, Ainsley Maitland-Niles a pourtant connu une période galère au cœur de l’automne.
Après des débuts timides sous les ordres de Laurent Blanc, l’international anglais (26 ans, cinq sélections) a fait les frais de l’arrivée de Fabio Grosso. Pas convaincu par ses qualités et sa polyvalence, l’Italien ne lui a fait confiance qu’à deux reprises lors de ses sept matchs dirigés sur le banc lyonnais: 39 minutes à Brest (défaite 1-0) et une mi-temps contre Clermont (défaite 2-1) lors des 6e et 9e journées. Un traitement que n’a visiblement pas digéré l’ancien joueur d’Arsenal et Southampton.
Ainsley MAITLAND-NILES
“Il est parti avant qu’on ait eu une conversation”
“Il ne me connaissait pas en tant que personne. Il ne m’a jamais demandé comment je me sentais, ni ce que je voulais. Je suis resté tranquille, j’ai travaillé. Il est parti avant qu’on ait eu une conversation”, lâche-t-il dans une interview accordée ce samedi à L’Equipe. Mal embarquée, sa situation a radicalement changé avec l’éviction de Grosso fin novembre et la prise de fonction de Sage.
Surtout utilisé comme latéral droit, mais capable d’évoluer un cran plus haut au milieu et même comme ailier, Maitland-Niles enchaîne les titularisations en Ligue 1. Avec une certaine réussite pour lui et son club qui pointe désormais à la 10e place du classement avant de recevoir Brest ce dimanche (20h45). Sans oublier la finale de Coupe de France à disputer le 25 mai face au PSG.
L’occasion pour Maitland-Niles de décrocher un quatrième trophée en club après la Coupe d’Angleterre et le Community Shield remportés avec Arsenal, et la Ligue Europa Conférence gagnée avec la Roma.
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