"Avez-vous un seul instant pensé à moi?": Cécile de Ménibus réagit à une séquence violente de 2006 ressortie sur les réseaux sociaux

“Avez-vous un seul instant pensé à moi?”: Cécile de Ménibus réagit à une séquence violente de 2006 ressortie sur les réseaux sociaux

En 2006, alors que Cécile de Ménibus officiait aux côtés de Sébastien Cauet dans l’émission CaueTivi, elle avait été agressée par l’acteur Rocco Siffredi qui avait simulé de force un acte sexuel avec elle. Après l’émission, il avait forcé l’animatrice à l’embrasser.

Les faits ont plus de 15 ans, mais les images ont été ressorties sur X (anciennement Twitter) dans le cadre des poursuites pour agressions sexuelles qui vise Sébastien Cauet.

“Comment ça a pu passer à l’époque ?”, s’est demandé l’internaute qui a republié la vidéo. Ce que n’a pas apprécié Cécile de Ménibus.

“Depuis le 17 novembre, vous avez posté cette séquence. Avez-vous un seul instant pensé à moi ? Vous êtes-vous demandé si d’ouvrir chaque jour mon compte et tomber sur les répercussions de votre tweet pouvait avoir un impact sur moi ? Pourquoi ne pas m’avoir demandé si je pouvais être choquée de voir et de revoir ce moment ?”, a-t-elle réagi.

Selon elle, le responsable de cette agression, c’est Rocco Siffredi. Elle ne voit pas l’utilité de faire rejaillir ces images, avec les conséquences que cela a pour elle.

“C’est visiblement Cauet que vous visez. Vous avez tort. Le seul responsable de cette situation, c’est Rocco Siffredi ! C’est lui qui me manque de respect et qui ajoutera un acte déplacé dans les coulisses. Je me suis déjà exprimée sur ce moment. Vous m’obligez à recommencer, a-t-elle encore déclaré. Oui, je déteste cette séquence, mais nous sommes tous un peu responsables d’avoir laissé faire. Regardons cette séquence dans son contexte, mais ne minimisons pas l’attitude de l’acteur, parce que c’est ce que vous faites ! Pas un mot sur lui ? Pourquoi ? Alors, soyez juste comme je tente de l’être. Ce moment ne vous appartient pas, donc ne le piétinez pas en détournant le nom prédateur et nommez-le”.