Depuis la dernière décision du gouvernement, tous les véhicules, quels qu’ils soient, doivent passer le contrôle technique. Une question de sécurité, tant pour soi que pour les autres. Parfois cependant, certains conducteurs refusent de l’effectuer. Un risque à prendre qui peut coûter cher, d’autant plus si le contrôle technique n’est pas passé avant une date bien précise.
Depuis la dernière décision du gouvernement, tous les véhicules, quels qu’ils soient, doivent passer le contrôle technique. Une question de sécurité, tant pour soi que pour les autres. Parfois cependant, certains conducteurs refusent de l’effectuer. Un risque à prendre qui peut coûter cher, d’autant plus si le contrôle technique n’est pas passé avant une date bien précise.
Posséder un véhicule demande de se plier à bien des exigences. En effet, en plus d’être un gouffre à dépense (réparation, essence, assurance…) chaque véhicule, quel qu’il soit, doit désormais passer un contrôle technique.
Une obligation qui s’étend même, depuis le 15 avril 2024, aux motos et aux scooters, qui ont pendant longtemps protesté contre cette nouvelle règle imposée par le gouvernement. Il faut dire que, pendant de nombreuses années, quasiment tous les deux-roues étaient exemptés de passage au contrôle technique. Aujourd’hui, comme tous les autres véhicules, ils doivent désormais se plier à cet examen, sous peine d’une grosse amende.
Contrôle technique : une date bien précise à respecter sous peine d’amende
Si se soumettre au contrôle technique ou à la contre-visite peut être agaçant, notamment en raison du prix que cela peut coûter (ces derniers varient en fonction des établissements et évoluent selon le type d’énergie de la voiture : essence, diesel, gaz, hybride, électrique…), il est important de l’effectuer pour des raisons de sécurité. De très nombreux points, comme les équipements de freinage, la direction, les essieux, les roues, les pneus, les suspensions… sont en effet vérifiés.
Et puisqu’il s’agit de détails pouvant mettre en danger votre vie ou celle des autres conducteurs autour de vous, en créant un accident, il est impératif de respecter la date de validité de votre précédent contrôle technique. L’anticiper est même la meilleure chose à faire car, dès que cette dernière est périmée, il est tout à fait possible de vous administrer une amende. La raison ? Vous êtes tout simplement en tort, même si votre rendez-vous a lieu dans quelques jours.
Des exigences différentes en fonction des véhicules
Selon le véhicule que vous possédez, les exigences ne sont pas les mêmes. Pour une voiture, le premier contrôle technique ne doit pas dépasser les six mois après avoir fêté les quatre ans de sa mise en circulation. Il doit, par la suite, être effectué tous les deux ans, sans quoi vous risquez une amende. Du côté des véhicules utilitaires ou encore des camping-cars de moins de 3,5 tonnes, les règles sont les mêmes.
Pour les deux-roues qui ne souhaitent pas non plus rouler dans l’illégalité, et pour les véhicules sans permis, le contrôle technique doit se faire dès le cinquième anniversaire de la mise en circulation. À partir de là, pour ne pas avoir d’amende, il faudra revenir au centre de contrôle tous les trois ans. Le cas des taxis, des véhicules de dépannage, et des transports sanitaires est encore différent, puisque le contrôle technique doit intervenir pour eux tous les ans.
Jusqu’à 750€ d’amende pour les contestataires au contrôle technique
Le code de la route est formel : “Tout propriétaire d’un véhicule mentionné au présent chapitre n’est autorisé à le mettre ou le maintenir en circulation qu’après un contrôle technique ayant vérifié qu’il est en bon état de marche et en état satisfaisant d’entretien”. Oublier, volontairement ou non, son contrôle technique, c’est donc prendre le risque de se voir attribuer une belle amende. Elle est d’ordinaire à 135€, mais peut baisser à 90€ si payée dans les trois jours. En revanche, si la contravention n’est pas payée rapidement, la somme peut augmenter et atteindre, passé les 45 jours, 750€.
Et si l’amende n’est toujours pas payée, le Code de la route prévoit l’immobilisation du véhicule. Il peut alors être emmené par les fourrières ou bien par les forces de l’ordre. Dans ce cas bien précis, le gouvernement précise sur son site que “le certificat d’immatriculation (nouveau nom de la carte grise) du conducteur est retenue” et qu’”une fiche de circulation valable 7 jours lui est remise pour lui permettre de faire le contrôle technique.” Le conducteur doit alors, pour la récupérer, “présenter au commissariat ou à la gendarmerie le procès-verbal du contrôle technique (…).”
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